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Combichrist

Live report

Combichrist Le 02 Décembre 2014 à Lyon , France (Ninkasi-Kao)
Il y a bien longtemps, dans une ville lointaine, mais pas si lointaine…


Bobo : Yo, ça roule ?

Bibi : Ça gazouille, et toi ?

Bobo : Nickel. J'ai vu Combichrist en concert hier, c'était é-norme !

Bibi : Ah ouais ? C'est pas spécialement ma came. Enfin, je trouve ça sympa, mais j'aurais du mal à m'enfiler un album entier.

Bobo : Ah ouais mais en live c'est pas la même. Si t'as l'occasion de les voir, fonce, tu seras pas déçu !

Bibi : Ok, je prends note. Mais fais gaffe hein, si je ressors déçu, tu deviendras mon esclave jusqu'à la fin des temps pour la peine !



Plus récemment…


Bibi : Hey ! J'ai pensé à toi, je suis allé voir Combichrist en live !

Bobo : Ah ! Et alors ??

Bibi : Et bien je m'incline, c'est effectivement foutrement prenant ! Je m'étais quand même bien penché sur leur discographie, histoire de pas me pointer comme un néophyte. Je reste sur mon opinion, sur CD c'est sympatoche mais ça me les bouge pas plus que ça. Mais en live, en effet, ça défonce sa mémé en string léopard !

Bobo : Je t'avais prévenu !

Bibi : Ah mais je sais, mais j'ai vraiment été totalement pris par le truc. C'est vraiment une musique taillée pour le live. On se serait cru en plein dance-floor à la sauce indus ! Et puis les mecs maîtrisent carrément leur son, y'a pas à tortiller du fion.

Bobo : C'est clair, la symbiose de la guitare et des éléments industriels est terrible.

Bibi : Là pour le coup, je pourrais pas dire. Leur gratteux était absent pour raisons de santé.

Bobo : Hein ? Pas de guitare ??

Bibi : Et non. Mais le bassiste compensait bien. Et pour un mec comme moi, qui n'est pas plus connaisseur du groupe que ça, et qui les voyait pour la première fois, ça ne m'a pas plus choqué que ça. Disons que ça renforçait encore plus le côté dance-floor, et c'était pas pour me déplaire ! Le claviériste avait tout le spectre sonore pour déployer ses patterns, et franchement ça envoyait ! La basse venait alourdir le tout.

Bobo : Et puis les mecs sont de bons showmen aussi !

Bibi : Mais ouais ! Super charismatiques, et sympathiques ! Les gars prennent visiblement un méga plaisir à faire ce qu'ils font, et leur bonne humeur est communicative ! C'est marrant, c'est une musique plutôt froide par son côté indus à la base, mais avec l'énergie déployée par les mecs, ça se transforme en un truc carrément bestial. Et rock'n'roll ! Les gars sont de vraies piles électriques. Et le batteur m'a bien fait marrer à balancer ses fûts sur la scène ! Même si je suis fondamentalement opposé à la maltraitance des instruments du musique, là ça rajoutait au côté nerveux de la prestation. C'est complètement barré, et pour moi c'est vraiment ce que doit être le metal-indus. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, c'est une musique bourrée d'émotion, et je pense que cet aspect ressort beaucoup plus en live que sur album.

Bobo : Et c'était où ?

Bibi : Au Ninkasi Kao. J'aime beaucoup cette salle, pas hyper grand, mais parfaitement configurée. Ça permettait d'atteindre un vrai degré d'intimité avec le groupe, un véritable échange avec le public qui était en feu.

Bobo : Et niveau setlist, ça donnait quoi ?

Bibi : Après l'intro assez longue et bien pesante, ils ont joué "What the Fuck is Wrong With You?", "Today I Woke to the Rain of Blood", "Blut Royale", "This is my Rifle", "Can't Control", "Throat Full of Glass", "Never Surrender", "Shut Up and Swallow" (un titre pour le moins poétique), "Electrohead", "Get Your Body Beat", "Fuck That Shit", "What the Fuck is Wrong With You?", "This Shit Will Fuck You Up", et "Sent to Destroy".

Bobo : Jolie setlist ! Et la première partie, ça donnait quoi ?

Bibi : C'était William Control. Je croyais que ça allait être une marque de rasoirs, mais non, c'était bien un groupe. Enfin, un groupe… À en juger par la présentation du chanteur ("I am William Control"… Ok, et les autres, c'est qui ?), ce serait plutôt un projet solo. Pas mauvais, loin de là, de l'indus à l'ancienne bien électro et goth, très influencé par Depeche Mode. Rien à dire sur la presta, les mecs géraient leur bazar sans souci. Mais ce n'est pas mon truc, et ça n'a pas déchaîné les foules…

Bobo : Dac. Bon et bien je vois que tu as été conquis par Combichrist !

Bibi : Oooh oui, et j'ai bien hâte de les revoir. En espérant que le guitariste sera bien présent la prochaine fois, histoire de voir la bête dans sa configuration originale.

Bobo : Cool ! Bon sinon, reparlons de samedi dernier, quand on t'a retrouvé ivre, dans le caniveau, le pantalon sur les…


La suite de la conversation n'ayant aucun rapport avec le sujet qui nous intéresse, nous la passerons sous silence.

1 COMMENTAIRE(S)

Gothenburg citer
Gothenburg
26/12/2014 15:01
Effectivement c'est un groupe taillé live.

En fait j'ai l'impression que Combichrist est né d'une sorte de Frustration avec le groupe initial du chanteur Icon of coil, qui pour le coup était plus cyber électro mais qui avait du mal en live à communiquer l'ambiance retranscrite sur CD.

Du coup, combichrist débarque, un truc puissant qui offre du sang neuf aux fans un peu désabusés de rammstein ou encore NIN. Mais en atteste le dernier album, le groupe revient de plus en plus à un son Icon of coil, avec les armes pour le live en plus.

En tout cas j'ai été con de les rater a panam y'a quelques semaines... fuck, Même si y'a rien à faire, icon of coil c'est mieux, rien qu'un titre comme Disconnect c'est le paradis sur terre...


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