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SLAVE ONE pour la sortie de l'album "Omega Disciples"

Interview

SLAVE ONE pour la sortie de l'album "Omega Disciples" Entretien avec Sébastien Salin (Batterie) et Nicolas Salin (Guitare Lead) (2020)
Salut les gars et merci de prendre le temps de répondre à ces quelques questions, tout d’abord pour commencer pouvez-vous me raconter la genèse du groupe ? Qu’est ce qui vous a poussé à le créer, l’envie de jouer ensemble ?

Nicolas : Bonjour à toi. A vrai dire, Sébastien et moi avions déjà joué ensemble dans notre premier groupe CRIMSON RAIN (qui muta en CRIMSON ensuite). Lorsque Sébastien a souhaité partir sur un nouveau projet, il a commencé à composer des titres Death-Metal old-school et m’a proposé d’assurer les enregistrements et de composer les harmonies et autres solis. Je crois qu’à l’époque nous avions ce besoin irrépressible d’apporter notre pierre (si petite soit-elle) à l’édifice du Death-Metal.

Sébastien : Salut, Nico a bien résumé la chose. Nous avons commencé à jouer ensemble durant l’adolescence et avons monté notre premier projet avec des potes en 1997, un groupe Black/Death à synthé. Pour la petite histoire, Tarvos y jouait de la basse et assurait le chant. Ben nous a dépannés sur des dates (Ben, Tarvos et moi nous connaissons depuis 1989). Une démo cassette a été enregistrée. Les études puis nos vies professionnelles respectives nous ont contraints à nous éloigner de notre activité musicale. Je suis resté, si ma mémoire est bonne, 7 ans sans toucher à une batterie.

Tarvos a monté un projet Black nommé BRENNKELT. Il nous a sollicité Nico, Ben et moi-même pour enregistrer une démo. Gros challenge eu égards au nombre d’années passées sans jouer. Cette démo a permis à BRENNKELT de mettre le pied à l’étrier et d’enregistrer un album avec des membres de SAVAGE ANNIHILATION notamment.

Je me suis retrouvé à nouveau des baguettes aux mains avec l’envie de remonter un projet. J’ai donc composé les morceaux de « Vermin » que nous avons enregistrés avec Nico. L’Ep vaut ce qu’il vaut…. Mais il a sonné la naissance de SLAVEONE. Ben n’a pas tardé à être intéressé par le projet, nous avons recruté un chanteur et débauché notre frère Williams à la basse. L’EP « Cold Obscurantist Light » (2012) a plutôt bien été accueilli. L’album « Disclosed Dioptric Principles » (2016) a été enregistré sur une longue période, deux ans me semble-t-il, et nous a permis de signer avec Dolorem Records en mars 2016. C’est vraiment l’EP « Cold Obscurantist Light » qui, pour moi, marque l’incarnation du SLAVEONE actuel.

Vous êtes toujours les compositeurs attitrés, les autres membres ont-ils un droit de regard sur ce que vous proposez ?

Nicolas : C’est vrai que dit comme ça, SLAVEONE ressemble à un régime totalitaire !!! Il est bien plus simple pour nous de travailler de cette manière, on s’évite d’éternels débats sur une variation de riffs, une polyrythmie. Sébastien gère l’ossature des morceaux et je m’occupe de donner corps à ses idées. En fait, on peut dire que Sébastien créé le squelette des morceaux et je m’occupe de leur chair. La fraternité nous permet de travailler sans faux semblants.

Sébastien : J’assume mon côté dictateur. Comme l’a souligné Nico, j’apporte très souvent l’ossature rythmique des morceaux ainsi que le « squelette » des riffs. Nous le retravaillons ensuite avec Nico. Il y apporte beaucoup d’idées fraiches car il écoute très peu de Metal extrême. Les autres membres sont libres d’apporter des idées mais nous n’avons pas encore eu l’occasion de bosser avec le nouveau line-up. Quelques bribes de nouvelles compos sont là mais elles sont, comme à l’accoutumée, de notre fait avec Nico.

Il faut toutefois savoir que les deux nouveaux membres sont déjà très actifs au sein du groupe. Tarvos s’implique beaucoup pour la mise en scène des futurs concerts car nous comptons renforcer cet aspect. Jean est notre monsieur technologie ce qui va nous permettre de jouer avec les quelques samples présents sur les albums.

L’évolution musicale s’est faite progressivement, on l’entend de façon très forte entre votre premier opus « Disclosed Dioptric Principles » et la sortie suivante (l’EP « An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit »), comment s’est-elle passée ? Tout cela s’est-il fait naturellement ?

Nicolas : Il s’agit effectivement d’une évolution naturelle. Il est cependant nécessaire de noter que les retours que nous avons eu sur « Disclosed Dioptric Principles » et « An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit »), nous ont influencés. Avec moins de fioritures, les morceaux depuis « An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit ») sont plus pensés pour les lives.

Sébastien : « Disclosed Dioptric Principles » avec le recul est un album orgueilleux. Peut-être un désir refoulé de montrer que même si l’on s’était arrêté de jouer longtemps, nous étions encore capables de jouer. Restons lucide « Disclosed Dioptric Principles » n’est pas l’album le plus technique et le plus rapide de l’histoire, loin de là, mais il transpire l’hommage aux groupes que nous écoutions ado : DEATH, CYNIC, PESTILENCE, ATHEIST. On peut dire que c’est un témoignage maladroit de notre amour pour ces groupes.
Comme l’a souligné Nico, « An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit » est plus taillé pour la scène. Nous en jouons encore deux morceaux « Tunguska » et « Uroboric ». A l’époque, j’ai sorti la tête des groupes ultra-techniques que j’écoutais lors de la composition de « Disclosed Dioptric Principles ». L’EP marque un retour à nos racines Death-Metal. Nico ne me contredira pas si je dis que nous avons été gavés au MORBID ANGEL, DEATH, LOUDBLAST…. Bref, c’est une musique régressive que nous proposons, une thérapie familiale pour accepter d’où nous venons.

C’est votre deuxième réalisation pour Dolorem Records, comment se passe la collaboration avec Alex ? Comment s’est passée la signature sur son écurie ?

Sébastien : Je connais Alex depuis 2011 avant la création du label. Il avait monté un webzine MetaXTours et avait apprécié l’EP « Cold Obscurantist Light ». Un petit gars sympa à l’époque et sincèrement attachant car montrant une vraie passion pour le Metal.
Il a ensuite monté Dolorem Records avec Jérémie. Ils savaient que l’on bossait sur un album, je savais qu’ils montaient un label. Le rapprochement s’est fait naturellement. Depuis, nous bossons ensemble. Alex a fait un sacré boulot sur le livret du digipack. Nous sommes très fiers de l’objet. Nous avons passé de longues heures à échanger sur le sujet. Bref, une collaboration fructueuse pour notre part, rien à redire tant humainement qu’au niveau business.

Ce nouvel album a été long à se mettre en place, pourquoi une si longue attente ?

Nicolas : Nous avons fait le choix de prendre notre temps afin de soigner la production de l’album avec DEJ de marmelade production mais aussi le visuel pour qu’il soit le plus près possible de l’idée que nous en avions.

Sébastien : A vrai dire l’élaboration des compositions a été assez rapide. Les batteries ont été enregistrées à la mi-octobre 2018. Deux semaines après Nico enregistrait la majeure partie des guitares et de la basse. Le chant n’a été enregistré qu’en février 2019. C’est surtout nos emplois du temps respectifs qui nous ralentissent. On a tous des boulots, certains plus prenant que d’autres. C’est une équation complexe à gérer !!!

Il faut tout de même souligner que l’on a pris le temps de soigner les détails, tant dans la production de l’album que dans l’aspect visuel. Nous avons passé du temps à développer le concept du livret, son visuel, travailler la box collector, les t-shirts. Un boulot chronophage mais gratifiant. Nous avions mis deux ans à sortir le premier album, pour le second à peine un an et demi, il y a du mieux. Comme je te le disais plus haut, nous commençons déjà à bosser sur de nouvelles compos, soit pour refaire le coup de l’EP entre deux albums soit pour un nouvel album.

Vous mélangez savamment le Death à la fois old-school et plus actuel (avec une fluidité et un côté Progressif - qui m’a fait penser aux regrettés OUTCAST), pour obtenir un son influencé aussi bien par l’Europe que les Etats-Unis, y’a-t-il des groupes qui font l’unanimité parmi vous ?

Nicolas : Bien sûr que certains noms old-school font l’unanimité, je pense aux premiers MORBID ANGEL, à DEATH pour ne citer qu’eux. Pour ce qui est de groupes plus actuels, ce n’est pas la même histoire. A titre d’exemple Sébastien et moi-même avons des goûts qui sont parfois diamétralement opposés. Mais je crois que ce sont toutes ces différences de goûts qui façonnent le son de SLAVEONE.

Sébastien : Je ne connais pas du tout OUTCAST, il faut que je me penche sur ce groupe. A vrai dire, je connais moins les goûts musicaux de Jean que celui des autres membres mais je suis certain que LOUDBLAST fait l’unanimité dans nos rangs avec les albums « Disincarnate » et « Sublime Dementia » (une piste pour une prochaine reprise). MORBID ANGEL avec « Covenant » et « Domination », DEATH avec « Human », « Individual Thought Patterns » et « Symbolic » ainsi que DARK TRANQUILLITY avec « The Gallery » me viennent à l’esprit. Nous sommes de la génération « Compilation Metallian » et avons été abreuvés de cette vague de Death Mélodique Scandinave, de Death européen et ricain mais également de beaucoup de Black-Metal. Je suis un grand fan de DEATHSPELL OMEGA, BLUT AUS NORD, et j’essaie de convertir mes partenaires.

Techniquement vous avez encore progressé sans pour autant tomber dans la branlette de manche (le niveau proposé par chacun d’entre vous est impressionnant), avez-vous eu la sensation de devoir vous brider pour arriver à cela ou n’y a-t-il eu aucune limite ?

Nicolas : Non aucune bride pour ma part. Les solis de l’album sont parmi les plus simples que j’ai écrits à ce jour. Je considère la technique comme un moyen en non un but. L’idée est de donner le sentiment à l’auditeur que tout est simple et fluide même si le travail en amont est fastidieux et répétitif.

Sébastien : Les riffs du nouvel album sonnent beaucoup moins techniques mais contiennent de nombreux passages arpégés chiants à faire sonner. Je les compose et Nico s’en débrouille, ce n’est pas mon problème. Ahahahaha. Globalement, pas de limite même si le sentiment qui émane des nouvelles compos est cette sensation de simplicité je trouve. Les structures des morceaux sont plus lisibles, pas de branlette de manche ni de jeu rapide à la batterie (j’en suis incapable). Une fois l’album enregistré, lorsque l’on a écouté, j’ai eu le sentiment d’avoir laissé de côté cette course à la vitesse et à la technique pour quelque chose de plus malsain et organique. Nous avons plus joué sur les ambiances afin de permettre au contenant et au contenu de mieux se marier.

Nous ne nous sommes pas imposés de limites mais avons changé notre approche. Mon jeu de batterie est bizarre mais Ben et Nico ont tellement l’habitude de jouer avec moi et savent que j’essaie de développer des rythmiques originales. J’ai utilisé quelques illusions rythmiques sur « Lightless Perspectives » ou « Carbon Mantra », des trucs super simples mais qui sonnent et apportent quelquechose au morceau. Pour les solis de Nico, nous en avons discuté et avons décidé de le laisser beaucoup improviser en studio. Il a fait de même pour les parties de basse. Jean a d’ailleurs carte blanche pour les réadapter pour le live.

Il y’a eu récemment des changements avec les départs du chanteur Nicolas Petre et du bassiste Benoît Jean (remplacés par Tarvos Bradach de BRENNKELT et Jean Taraud de LAST AVENUE), qu’est ce qui s’est passé avec eux ? Comment ont-été choisis leurs remplaçants ?

Nicolas : Effectivement, il y a eu quelques menus changements. Pour ce qui est de notre ancien bassiste, je n’ai rien à dire. Son remplaçant Jean est une personne que nous connaissions déjà et quelqu’un sur lequel on peut compter. En revanche pour notre chanteur Nico, la surprise fut grande lorsqu’il nous annoncé qu’il se souhaitait arrêter l’aventure. Nico voulait voir d’autres choses. C’est un choix que je respecte. Bonne continuation à toi Nico ! Son remplaçant Tarvos (chanteur-bassiste de BRENNKELT) est un ami de très longue date. Un excellent frontman qui va donner un nouveau souffle à SLAVEONE en live.

Sébastien : Rien à ajouter de plus, surprise mais compréhension pour Nico l’ancien chanteur. Nous avons pu rebondir très très rapidement. Tarvos devait prendre la basse lorsque nous avions encore un chanteur. Il est passé seulement au chant lorsque Nico (ancien chanteur) nous a quitté. Jean gravitait dans l’entourage du groupe depuis quelques temps et nous lui avons proposé le poste. Nous avons recruté deux passionnés totalement investis dans SLAVEONE, que demander de plus ?

L’artwork de l’album est particulièrement travaillé et d’une grande beauté visuelle, qui s’en est chargé ? Quel est son concept ?

Sébastien : Merci, cet artwork divise ! Je tiens à clarifier un point important, il s’agit d’une photo haute définition, il n’y a aucune manipulation ou 3D !! Il s’agit donc d’une photographie réalisée par Above Chaos. Cet artiste a bossé, entre autres, pour INQUISITION et SVART CROWN. C’est d’ailleurs en voyant l’affiche qu’il avait réalisé pour un concert de ces derniers que j’ai été attiré par son boulot. On y retrouvait les mêmes teintes que sur l’artwork de « Omega Disciples ». Je l’ai donc contacté. C’est un artiste très accessible, ouvert au dialogue. Je lui ai donné les thèmes et les idées que nous avions en tête. Nous voulions retrouver ces teintes grisées propres aux os qui se marient si bien avec le doré. Pour les thèmes évoqués, j’ai fourni les pistes suivantes à Vincent : Le corps est un temple, une prison, un portail, une étape… Nous souhaitions marquer également le côté spirituel du concept en ajoutant une rosace, un oméga.

Vincent est revenu vers moi avec le visuel du digipack. Il avait éludé certaines pistes données, en argumentant, et avec du recul, à juste titre. Nous avons retenu sa proposition. Cette cage thoracique dorée, ces os grisâtres, ces cercles éveillent la curiosité avec un côté très sobre mais très frappant visuellement. Je trouve qu’une aura mystique se dégage de cet artwork. Il colle au concept des paroles et se suffit à lui-même : Pas de logo, juste le nom du groupe et le titre de l’album en petits caractères. J’ai eu la chance de voir les photos du making-of de l’artwork, c’est très impressionnant. Vincent a photographié de vrais os, de vrais cercles. Chapeau bas !!!!

Vous êtes très proches de SAVAGE ANNIHILATION, originaires comme vous de Montargis, y’a-t-il d’autres formations locales que vous pourriez nous conseiller ? Comment se porte la scène du Loiret ?

Sébastien : Ah le Loiret, quel magnifique département bordé d’éoliennes et de champs de betteraves !!! Oui, nous sommes proches de SAVAGE ANNIHILATION. On s’échange des plans, se prête du matos bref on se serre les coudes autant que faire se peut.
Je te conseille d’écouter BRENNKELT (War Metal), PLEASURE TO KILL (Thrash) et ARAE (Death Metal) qui sont de Montargis. Nous avons quelques grands noms de l’extrême sur Orléans comme IMPUREZA et RITUALIZATION. Warchangel est un très bon ami et nous a gratifiés d’un guest sur deux morceaux. Un très bon moment en studio !!!

Le Metal se porte bien par chez nous mais les lieux pour se produire manquent malheureusement malgré une fan-base de metalleux importante pour tous les groupes cités. C’est déplorable. Il y a de gros groupes signés sur de gros label (je parle pour IMPUREZA et RITUALIZATION) mais pas d’endroits pour jouer. Des mecs comme Mike et Dave de SAVAGE ANNIHILATION se bougent le cul et organisent un festival tous les mois de juin, le Gatinaicticut Metal Fest. Un seul conseil, venez donc, vous ne serez déçu ni par l’ambiance ni par la programmation.

Vous co-organisez avec Louve Association le samedi 28 mars à Sens une grande soirée Metal avec INNER, GHUSA et MORVIGOR. Pouvez-vous m’en dire un mot ? Comment cela va-t-il se passer ?

Sébastien : En fait, on ne co-organise pas, on vient seulement jouer. Le concert est organisé par Louve Association, une asso dont nous sommes proches et qui nous a déjà fait jouer. Nous y avons déjà partagé la scène avec VISCERAL DISSECTION et DUNKELNACHT. Belle salle, très bon accueil et un public qui se déplace.

Cette année, nous y présenterons le nouvel album et le nouveau line-up en compagnie de INNER (Crossover), GHUSA (Death Metal) et les hollandais de MORVIGOR (Black/Death). Nous ne serons pas en terrain inconnu d’autant plus que j’ai déjà dépanné GHUSA pour une date en 2018.

Quels sont vos objectifs pour cette nouvelle année ?

Nicolas : Jouer les nouveaux morceaux en live autant que faire se peut.

Sébastien : Trouver des dates (quel casse-tête) et composer de nouveaux titres.

Pour ceux qui ne le savent pas votre nom provient de celui du vaisseau de Boba Fett, chasseur de primes dans la saga « Star Wars », pourquoi ce choix ?

Nicolas : une idée sortie de la tête de Bob et crois moi c’est du grand n ‘importe quoi dans sa tête !

Sébastien : J’avoue, je suis un grand fan Star Wars et de Science-Fiction en général, le nom sonnait bien et c’était un clin d’œil à ma geekerie. Il y d’ailleurs un clin-d’œil sur nos deux premiers EPs et l’album « Disclosed Dioptric Principles ». Un morceau y fait à chaque fois référence à la culture geek. A vous de trouver !!!

En tant que fans des films comment percevez-vous les derniers épisodes en date produits par Disney ? Faites-vous partie des puristes qui ne jurent que par les épisodes IV à VI ?

Nicolas : Nos avis divergent là-dessus. Certes la trilogie originelle est une référence à mes yeux mais les autres films comportent aussi quelques scènes que je considère comme cultes. Merde Yoda qui saute partout à un sabre laser plus grand que lui, ça envoie du bois quand même.

Sébastien : "Disney m’a tuer". Demande à un fan de MORBID ANGEL période « Covenant », « Domination » ce qu’il pense de « Illud Divinum Insanus » et tu auras mon avis sur la période Disney…

Faites-vous partie de ceux qui considèrent qu’à l’heure la scène extrême hexagonale est parmi la plus intéressante sur le marché ?

Nicolas : Je n’ai aucune opinion à ce sujet.

Sébastien : La scène française est très active mais pas plus qu’ailleurs à mon avis. Tu trouves de superbes groupes partout maintenant, des pépites dans tous les coins du globe. Mais force est de constater que la scène française propose de belles choses : RITUALIZATION, IMPUREZA, SAVAGE ANNIHILATION, DEATHSPELL OMEGA, BLUT AUS NORD, DRASTUS, THE ORDER OF APOLLYON, OGARYA, DEATHAWAITS, AEON PATRONIST, CATALYST, j’en passe et des meilleurs. Mais je peux te citer autant de groupes étrangers. Ne soyons pas chauvins, la scène extrême internationale se porte très bien.

Hormis le Metal avez-vous d’autres styles de prédilection ?

Nicolas : Pas de style de prédilection. Je suis bien plus ouvert d’esprit que Sébastien à ce sujet. La musique est un vecteur émotionnel à mes yeux. Dès lors où une musique me fait ressentir quelque chose, je l’apprécie peu importe le style.

Sébastien : Je suis très ouvert j’écoute du Death-Metal aussi. A partir du moment qu’un groupe fait ressentir quelquechose à Nico, je ne l’écoute pas, j’ai trop peur de me retrouver avec un best-of de Mika ou le dernier Lara Fabian entre les mains.

C’est l’heure de se quitter je vous le mot de la fin…

Sébastien : Allez à des concerts, achetez des disques, jouez à Warhammer 40.000, regardez le Doctor Who et oubliez ce que Nico a dit, c’est un menteur !!!

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