chargement...

haut de page
Remontez pour accéder au menu
200 visiteurs :: Invité  » se connecter  » s'enregistrer

Geffen Records

Label

Geffen Records

A propos de Geffen Records

Source : Article Geffen_Records de Wikipédia en français (auteurs)
Contenu soumis à la licence CC-BY-SA.
La version imprimable n’est plus prise en charge et peut comporter des erreurs de génération. Veuillez mettre à jour les signets de votre navigateur et utiliser à la place la fonction d’impression par défaut de celui-ci.

.mw-parser-output .entete.musique{background-image:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/60/Picto_infobox_music.png")}
Geffen Records
Données clés
FilialeUniversal Music Group
Fondation1980
FondateurDavid Geffen
Maison de disquesInterscope Geffen A&M Records (États-Unis), Polydor (International)
GenreDivers
Pays d'origine États-Unis
SiègeSanta Monica, Californie (depuis 2000)9130 Sunset Boulevard, Los Angeles, Californie (1980–1998)10900 Wilshire Boulevard, Los Angeles, Californie (1999–2000)
Site webwww.geffen.com

Geffen Records est un label discographique américain, dirigé par Universal Music Group, troisième du groupe Interscope Geffen A&M Records.

HistoireDébuts

Geffen Records est créé en 1980 par l'homme d'affaires américain David Geffen qui, au début des années 1970, a fondé Asylum Records. Geffen se sépare d'Asylum en 1975 lorsqu'il devient vice-président chez Warner Bros. Pictures. Il est renvoyé de chez Warner aux alentours de 1978, mais son contrat de 5 ans l'empêche d'obtenir un emploi ailleurs. Il revient en 1980 chez Warner Bros. Records pour conclure un contrat qui aidera à la création du label discographique Geffen Records. Le label, dont Warner possède tous les droits, distribue son catalogue musical au Royaume-Uni, au Canada et aux États-Unis ; Epic Records s'occupe de la distribution dans le reste du monde jusqu'en 1985 lorsque Warner Bros. prend possession de ces territoires. Les gains financiers sont alors équitablement partagés (50/50) entre Geffen et les distributeurs respectifs.

La première musicienne signée chez Geffen Records est Donna Summer, dont l'album certifié disque d'or intitulé The Wanderer devient le premier disque distribué par le label en 1980.

Le label distribue ensuite Double Fantasy de John Lennon et Yoko Ono. Il s'agit du premier album de Lennon depuis 1975. Deux semaines après son entrée dans les classements musicaux, Lennon est assassiné à New York. Par la suite, l'album est vendu à des millions d'exemplaires, attribuant à Geffen son premier single/album à atteindre la première place des classements ; les droits de l'album sont plus tard obtenus par EMI.

Tandis que les années 1980 passent, Geffen atteint le succès grâce à des musiciens et groupes comme Quarterflash, Asia, Wang Chung, Kylie Minogue et Sammy Hagar. À cette même période, le label continue de recruter nombre de célébrités telles que Elton John, Irene Cara, Cher, Debbie Harry, Don Henley, Joni Mitchell, Neil Young, Peter Gabriel et Jennifer Holliday. À la fin de la décennie, la société se forge une popularité à travers la scène musicale rock, grâce au succès de Whitesnake (aux États-Unis uniquement), The Stone Roses, Guns N' Roses, Tesla, Sonic Youth et les rockeurs des années 1970 d'Aerosmith. Cela mène Geffen à créer un sous-label, DGC Records en 1990, qui se focalise plus sur le rock progressif et qui aidera à l'émergence de groupes de rock comme Nirvana. Geffen a également distribué la première incarnation du label Def American Recordings via Warner Bros. de 1988 à 1990.

Acquisition par MCA

En 1990, le contrat qui lie Geffen à Warner arrive à échéance. Le label est alors acquis par MCA Music Entertainment (plus tard renommé Universal Music Group). Pour David Geffen, ce contrat est estimé à 800 millions de dollars US et dure jusqu'en 1995. À la suite de cette acquisition, Geffen Records devient l'un des labels indépendants dirigés par MCA. Geffen devient directeur du label en 1995 pour collaborer avec Jeffrey Katzenberg et Steven Spielberg pour créer DreamWorks SKG, un empire multimédia ambitieux spécialisé dans les films, séries télévisées, et musiques.

Interscope-Geffen-A&M

Universal Music Group acquiert PolyGram en 1999 et procède à une réorganisation des labels : Geffen Records, dont A&M Records, fusionne avec Interscope Records. En 2000, Geffen engage de nouveaux groupes et musiciens tels que Ashlee Simpson, Angels and Airwaves, Snoop Dogg et The Game, qui boostent la popularité du label via Interscope. En 2009, Geffen Records signe un accord avec Holy See pour produire un album composé des chansons et prières catholiques du pape Benoït XVI.

Jimmy Iovine relance l'empreinte Geffen en 2011, les bureaux ayant emménagé à New York. Gee Roberson — qui avait travaillé avec Jay-Z, Nicki Minaj et Lil Wayne — en devient président du conseil d'administration. En mars 2017, Neil Jacobson est nommé président de Geffen Records pour superviser la relance du label via de nouvelles signatures ainsi que la revigoration du catalogue légendaire du label. En décembre 2019, Jacobson quitte Geffen pour lancer Crescent Drive Productions.

En janvier 2020, Lee L'Heureux est nommé directeur général de Geffen Records.

Groupes et artistes

Les groupes et artistes signés chez Geffen incluent notamment : Yeat, Olivia Rodrigo, Midwxst, Seventeen[Lequel ?], Rod Wave, Nirvana, Kali Uchis, et Aerosmith.

Notes et références
  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Geffen Records » (voir la liste des auteurs).
  1. (en) Keith Caulfield, « Donna Summer's Album Sales Surge, Despite Lack of Availability », sur Billboard, 18 mai 2012 (consulté le 29 décembre 2013).
  2. (en) « “Watching The Wheels” », sur The Pop History Gig (consulté le 29 décembre 2013).
  3. (en) Francis X. Rocca, « Pope signs with same label as Snoop Dogg, Ashlee Simpson », sur USA Today, 31 juillet 2009 (consulté le 31 juillet 2009).
  4. (en) Christopher Morris, « Gee Roberson named chairman of Geffen Records », sur Variety, 21 juin 2011.
  5. (en) Andy Gensler, « Neil Jacobson: How to Go From Golf Caddy to Geffen Records President », Billboard,‎ 24 mars 2017 (lire en ligne, consulté le 13 août 2017)
  6. (en-US) Shirley Halperin, « Neil Jacobson Exits Geffen Records; Launches Crescent Drive Productions », sur Variety, 11 décembre 2019 (consulté le 12 mars 2021).
  7. (en) « HITS Daily Double : Rumor Mill - GEFFEN'S LATEST MOVES », sur HITS Daily Double (consulté le 12 mars 2021).


1 chroniques

Nirvana
Unplugged In New York (Live)Grunge1994 - Geffen Records5/54.45/54.22/5
Geffen Records
origine
Etats-Unis Etats-Unis

label principal
Universal Music
Universal Music
Etats-Unis
  

Conifère
L'impôt Du Sang
Lire la chronique
Darkest Hour
Perpetual | Terminal
Lire la chronique
Mutilated By Zombies
Scenes From The Afterlife
Lire la chronique
Echoplain
In Bones
Lire la chronique
Aristarchos
Martyr of Star and Fire
Lire la chronique
Ritual Death
Ritual Death
Lire la chronique
Terravore
Spiral of Downfall
Lire la chronique
Apparition
Fear The Apparition
Lire la chronique
Diabolus In Musica - Exposition Philharmonie de Paris
Lire le dossier
Skeletal Remains
Fragments Of The Ageless
Lire la chronique
Carnifex
The Diseased And The Poisoned
Lire la chronique
Abigor
Taphonomia Aeternitatis
Lire la chronique
David Eugene Edwards
Hyacinth
Lire la chronique
Lemming Project
Extinction
Lire la chronique
Keys To The Astral Gates And Mystic Doors
Keys To The Astral Gates An...
Lire la chronique
Dödsrit
Nocturnal Will
Lire la chronique
Griefgod
Deterioration
Lire la chronique
Yattering
III
Lire la chronique
Mortual
Evil Incarnation (EP)
Lire la chronique
Belore
Eastern Tales
Lire la chronique
Malicious
Merciless Storm (EP)
Lire la chronique
Hysteria
Heretic, Sadistic And Sexua...
Lire la chronique
Bilwis
Hameln
Lire la chronique
Terranovem
Valley of Pariahs
Lire la chronique
Forbidden
Forbidden Evil
Lire la chronique
Endemic
The Church Of Destruction
Lire la chronique
Tressekter
Occult Astral Decimation (EP)
Lire la chronique
Brodequin
Harbinger Of Woe
Lire la chronique
Invocator
Excursion Demise
Lire la chronique
Carnifex
Dead In My Arms
Lire la chronique