chargement...

haut de page
Remontez pour accéder au menu
155 visiteurs :: Invité  » se connecter  » s'enregistrer

Soilwork

Live report

Soilwork Le 13 Octobre 2007 à Marseille, France (Espace Julien)
Eastpack antidote tour suite et fin, avec un coup de projo sur le set marseillais de la tête d'affiche, SOILWORK.
Une nouvelle fois irréprochable, DARK TRANQUILLITY achève sa prestation dans la tourmente d'un "The New Build" plutôt bien envoyé, même s'il n'atteindra jamais l'intensité d'un "The Wonders at your Feet" ou de "Inside the Parcticle Storm", les deux meilleurs titres de leur set. Suffisant en tous cas pour convaincre la foule, qui remplit deux gros tiers de l'Espace Julien, que les suédois restent les maîtres du death mélo.

SOILWORK déboule sur scène sans se faire prier et entame les hostilités avec un bon vieux "Bastard Chain" de derrière les fagots. Speed porte une chemise à carreaux, tenue de scène idoine au regard de la setlist de bûcheron qui va suivre. Le démarrage est foudroyant et les rythmiques en crochets du droit du titre d'ouverture du génial "Predator's Portrait" annoncent la couleur : ça va envoyer sec !

"As we Speak" et "One with the Flies", deux mid tempos plutôt mélo sur disque, ne changent rien à la donne. Avec la dynamo de SCARVE derrière les fûts, SOILWORK sonne presque comme MISERY INDEX ! en forme olympique pour cette étape marseillaise, Dirk Verbeuren ne laisse aucune chance au petit nouveau de la bande, Daniel Antonsson, situé juste devant son kit de batterie. Ses solos sont difficilement perceptibles, même si l'on devine qu'il n'a aucun mal à reprendre les parties du démissionnaire Peter Wichers. Ola Frenning a plus de chance et s'éclate comme un dingue sur "Light the Torch" (au break prolongé pour faire monter la sauce dans le pit), un des deux extraits de "Figure Number Five" avec "Rejection Role". Tenant sa basse à l'horizontale tout le long du concert, Ola Flink assure le spectacle et, à l'instar des autres musiciens (excepté Antonsson, très concentré), donne l'image d'un groupe ravi d'en découdre pour leur premier passage dans cette salle.

La violence atteint son paroxysme sur l'interprétation tellurique de "Follow the Hollow". Une boucherie sans nom qui creuse un peu plus le fossé entre les versions studio et leur rendu scénique. Plus SOILWORK sonne clinique sur album, plus ça avoine en live, comme en témoignent "Nerve", "Stalemate" et surtout "Stabbing the Drama", percutantes au possible. Les suédois cassent la barraque et Speed se fait plaisir, se permettant de massacrer un ou deux morceaux (on attend toujours le chant clair sur "As we Speak"!) tout en se montrant impérial sur ceux de "Stabbing the Drama". Là ou DT distille progressivement son venin métallique, SOILWORK imprime un rythme d'enfer dès le départ et ne relâche jamais la pression. En bon professionnel, Bjorn "Speed" Strid dirige un show à l'américaine, carré, ultra efficace. Un frontman charismatique, des musiciens déchaînés, une setlist parfaite et une "Chainheart Machine" supersonique, il n'en fallait pas moins pour prendre une méchante rouste et ce n'est pas l'anonymat de "Exile", single de "Sworn to The Great Divide", qui changera quoi que ce soit au verdict final : un show monstrueux !

Setlist de Soilwork à Marseille :

Bastard Chain
As we speak
One with the flies
Light the torch
Follow the hollow
Distance
Chainheart Machine
Stabbing the drama
Exile
Rejection Role
Stalemate
Nerve

2 COMMENTAIRE(S)

Thomas Johansson citer
Thomas Johansson
24/10/2007 07:41
Mikaël a écrit : Ouais, exactement ce que j'ai remarqué à Paris et qui m'a encore moins donné envie d'écouter ce groupe : trop bourrin, pas assez mélodique Sourire

Bien content de t'avoir rencontré en tout cas Sourire


Carrément, c'était cool de se capter, même en coup de vent !
Mikaël citer
Mikaël
21/10/2007 22:42
Ouais, exactement ce que j'ai remarqué à Paris et qui m'a encore moins donné envie d'écouter ce groupe : trop bourrin, pas assez mélodique Sourire

Bien content de t'avoir rencontré en tout cas Sourire

AJOUTER UN COMMENTAIRE

 
Vous devez être enregistré(e) et connecté(e) pour participer.
Soilwork
plus d'infos sur
Soilwork
Soilwork
Death mélodique moderne - 1996 - Suède
  

Skeletal Remains
Fragments Of The Ageless
Lire la chronique
Carnifex
The Diseased And The Poisoned
Lire la chronique
Abigor
Taphonomia Aeternitatis
Lire la chronique
David Eugene Edwards
Hyacinth
Lire la chronique
Lemming Project
Extinction
Lire la chronique
Keys To The Astral Gates And Mystic Doors
Keys To The Astral Gates An...
Lire la chronique
Dödsrit
Nocturnal Will
Lire la chronique
Griefgod
Deterioration
Lire la chronique
Yattering
III
Lire la chronique
Mortual
Evil Incarnation (EP)
Lire la chronique
Belore
Eastern Tales
Lire la chronique
Malicious
Merciless Storm (EP)
Lire la chronique
Hysteria
Heretic, Sadistic And Sexua...
Lire la chronique
Bilwis
Hameln
Lire la chronique
Terranovem
Valley of Pariahs
Lire la chronique
Forbidden
Forbidden Evil
Lire la chronique
Endemic
The Church Of Destruction
Lire la chronique
Tressekter
Occult Astral Decimation (EP)
Lire la chronique
Brodequin
Harbinger Of Woe
Lire la chronique
Invocator
Excursion Demise
Lire la chronique
Carnifex
Dead In My Arms
Lire la chronique
Worst Doubt
Immortal Pain (EP)
Lire la chronique
Acrid Death
Abominable Presence Of Blight
Lire la chronique
Necromanteum EU/UK Tour 2024
Aborted + Carnifex + Revoca...
Lire le live report
Civerous
Maze Envy
Lire la chronique
Headless Hunter
The Undertaker
Lire la chronique
Corpus Offal
Demo 2024 (Démo)
Lire la chronique
Vitriol
Suffer & Become
Lire la chronique
Halny
Zawrat
Lire la chronique
CARNIFEX
Lire l'interview