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Metal Magic Part VII - 2ème Jour

Live report

Metal Magic Part VII - 2ème Jour Black Sabbath Tribute + Bulldozing Bastard + Countess + Dark Quarterer + Hellsodomy + Horisont + Hürlement + Infernö + Inquisition + Laserguys + Paragon + Portrait + Possession + Seven Thorns
Le 11 Juillet 2014 à Fredericia, Danemark (Ungdommens Hus)
Vendredi 11 juillet 2014

Après une nuit un peu plus reposante que la première, me voilà presque en pleine forme pour attaquer cette deuxième journée du Metal Magic part VII. Les concerts commençant désormais à 12h, j'arrive sur le site vers 11h30 pour profiter des "hell hours". Les organisateurs n'ont en effet rien trouvé de mieux que de faire une promo "une bière achetée une bière offerte" entre 11h et 13h aujourd'hui et demain! Si ça, ce n'est pas un appel à la débauche! On va quand même y aller mollo car la journée s'annonce longue et éprouvante!


BULLDOZING BASTARD (indoor, 12h)

Sans connaître ce premier groupe, on se doute rien qu'avec son nom qu'on ne va pas se taper du rock progressif ou du metal symphonique! Le trio allemand ne fait effectivement pas dans la finesse. Rien d'ultra brutal mais plutôt du bête et méchant. Sorte de Motörhead extrême, BULLDOZING BASTARD envoie la purée joyeusement tout du long dans une ambiance bon enfant. Les Teutons forcent toutefois un peu trop sur la même rythmique two-beat, rendant le tout vite répétitif malgré une efficacité certaine en live. Pas trop mal pour commencer la journée, assez défoulant, mais rien non plus de super excitant.


SEVEN THORNS (outdoor, 12h50)

J'ai eu de la peine pour le groupe suivant. Certes, le power metal de SEVEN THORNS manquait clairement de génie, faisant penser à du Stratovarius low-cost qui dégoulinait de claviers kitsch, et pas non plus aidé par le chant quelconque du frontman en tongues. Mais méritait-il de jouer devant si peu de monde? Seul une petite dizaine de personnes s'étaient placées devant la scène quand les autres spectateurs disséminés ça et là sur le site n'en avaient visiblement rien à cirer. Dommage pour un combo du coin (encore des Danois!) formé il y a déjà un paquet d'années. Je n'ai pas adoré le show de SEVEN THORNS mais j'ai entendu bien pire. D'autant que le guitariste à l'instrument vert fluo (?!) a fait montre d'un touché certain sur les solos, déployant son art du sweep avec talent. Sans nul doute le meilleur point du set avec le son, toujours aussi clair, puissant mais pas trop fort.


HELLSODOMY (indoor, 13h45)

Changement total de décor et d'ambiance pour HELLSODOMY que j'étais très content de voir pour leur tout premier concert en dehors de Turquie. Le blackened death thrashy bestial des Turcs a tout emporté sur son passage à grands coups de riffs simples, sales et méchants sur fond de blastouille, de two-beat et de mid-tempo casse-nuque. C'est con mais c'est bon car c'est un excellent exutoire que nous propose le combo, presque surpris de l'accueil chaleureux qui lui est réservé. On notera ainsi plus de monde que d'habitude dans la salle, surtout à cette heure, et des applaudissements nourris. Pas de pogos par contre et la fosse finira immanquablement par se vider, comme pour chaque formation. Le très grand batteur Eren Steyr-Aug (Godslaying Hellblast), que l'on a déjà pu croiser la veille devant les groupes et tout content de ce succès, n'hésitera pas à se lever plusieurs fois derrière son kit pour scander "fuck Allah, fuck Islam"! Pourquoi il n'y aurait que Jesus qui prendrait?! Inutile de dire que ce set court mais intense de HELLSODOMY fut l'un des highlights du Metal Magic cuvée 2014 et que je me suis empressé de soutenir la formation en achetant sa tape Masochistic Molestation sortie il y a quelques semaines sur le label danois (d'où leur présence en terre scandinave) et ce même s'il s'agit d'un format que je n'ai pas souvent la possibilité d'écouter. Le groupe avait en plus fait l'effort de préparer une édition spéciale pour le fest avec les signatures de chaque membre. Très cool de leur part! Dès que je les croisais sur le site, je m'amusais à gueuler HELLSODOMY! Total suppot!


HÜRLEMENT (outdoor, 14h45)

Seul groupe français à l'affiche, je me devais de soutenir mes compatriotes, que j'avais vus pour la première fois le mois dernier en première partie de Cloven Hoof. Un concert fort sympathique dans la petite salle du Klub à Paris. Depuis, je me suis pas mal plongé dans leur discographie et je dois dire que j'apprécie de plus en plus le heavy/power aux mélodies inspirées et catchies d'obédience teutonne de la formation qui a toutefois le mérite de chanter une partie de ses paroles en français, nous rappelant au bon souvenir de la scène heavy 80's nationale qui renfermait quelques perles (Sortilège, High Power, H-Bomb...). Rebelote pour HÜRLEMENT qui a délivré un show très plaisant devant une foule peu fournie mais conquise. D'où j'étais, le son n'était toutefois pas aussi précis que d'habitude. Pas de quoi gâcher la fête toutefois, c'est plutôt le Soleil qui continue à taper comme la veille qui rend les shows extérieurs un peu difficiles. L'excellent chanteur Alexis, qui s'adresse au public en anglais bien sûr (quelques Français sont présents au festival néanmoins et plus que ce à quoi je m'attendais), fera remarquer qu'il faisait encore plus chaud la dernière fois où HÜRLEMENT était venu il y a deux ans. Je n'ose imaginer! Côté setlist, c'est la même qu'au Klub avec entre autres "Inquisition", "Kamikaze", "Mercenaire", "Dogue de Brocéliande", "Brothers Of The Watch" (we watch repris par le public comme d'habitude), "Ordalie", "Tigres Volants" et "Moine Guerrier". En final, le groupe nous réservera cependant une belle surprise en invitant à la guitare l'un des organisateur du Metal Magic, Martin Jørgensen, pour une reprise savoureuse du "Devil Eyes" de Mercyful Fate.


LASERGUYS (indoor, 15h45)

Même si c'est techniquement possible de voir tous les groupes puisque ceux-ci alternent sur les deux scènes, il s'agit d'un défi que je ne pourrai pas relever. Pas de LASERGUYS pour moi donc. J'ai juste entendu quelques notes de loin pendant que je mangeais. Les grindeux norvégiens avaient l'air de cogner sévère, dommage! Petit retour à l'hôtel ensuite pour déposer quelques achats avant de revenir rapidement pour le prochain groupe.


PARAGON (outdoor, 16h45)

Prochain groupe qui s'appelle PARAGON. Connais pas mais j'avais envie d'y remédier! À en juger par le look des musiciens pendant le soundcheck, ça a l'air plus masculin que SEVEN THORNS en tout cas! Effectivement! Pas de claviers ou de gazouillis guitaristiques. Ici c'est du power/speed/heavy poilu et belliqueux, la finesse allemande incarnée. Riffs en acier trempé, rythmiques couillues, mélodies viriles, ça ne rigole pas chez PARAGON, sauf sur la jolie power ballade "Armies of The Tyrant", et encore. Le chanteur a une bonne voix en plus et le show passe tout seul, même sans n'avoir jamais entendu les morceaux. Bonne surprise et discographie du groupe à checker!


POSSESSION (indoor, 17h45)

J'avais déjà vu les Belges chez eux en avril dernier. Un bon show toutefois gâché par un son exécrable. Vu la qualité sonore du Metal Magic jusqu'ici, j'avais de bons espoirs de revoir POSSESSION dans de meilleures conditions. Bingo! Si le décor occulte à base d'encens, crânes et bougies reste le même qu'à Bruxelles, le rendu n'a rien à voir. Avec des guitares audibles et des riffs discernables, c'est en effet beaucoup mieux! Grosse tuerie black bestial old-school à mi-chemin entre la scène sud-américaine pour les parties rapides jouissives et Bathory pour les mid-tempos idéaux pour bouger la tête comme un damné. Et en parlant de damné, le chanteur Mestema l'était probablement ou l'a été juste après sa prestation... possédée! Un petit "Necromancer" de Sepultura pour finir et voilà un show rondement mené qui a dû en retourner plus d'un.


PORTRAIT (outdoor, 18h45)

Un des groupes que j'attendais le plus de ce Metal Magic 7ème du nom. PORTRAIT fait en effet partie des mes groupes de revival heavy préférés. Ce n'est pas le très bon nouvel album Crossroads, bien que légèrement moins marquant que l'excellent Crimen Laesae Majestatis Divinae, qui viendra me faire changer d'avis. Il n'y avait donc plus qu'à valider le passage sur scène de ce heavy metal sataniste classe et sombre à l'influence Mercyful Fate toujours palpable. Ce qui a été fait brillamment par les Suédois qui ont comblé de joie l'assistance plutôt bien garnie, preuve que PORTRAIT a bonne réputation et était attendu. De tout façon, il n'y a pas de miracles. Quand les compositions sont bonnes et le son à même de retranscrire toutes les subtilités, difficile d'être déçu! Les Scandinaves y ajoutent tout de même un jeu de scène plutôt dynamique, notamment de la part du talentueux vocaliste beau gosse Per Lengstedt qui a su chanter aussi bien qu'en studio, et avec passion et conviction. Tant mieux car son chant vaut pour une bonne part dans la qualité de la musique du combo. L'autre, c'est bien sûr les riffs et le feeling mélodique du soliste au look torse poilu carrément moins sexy que son frontman. Concernant la setlist, pas mal d'extraits du petit nouveau ont été joués. "At The Ghost Gate" en ouverture précédé de l'intro enregistrée "Liberation", le tube "In Time", "We Were Not Alone" et "Black Easter". Un peu de Crimen Laesae Majestatis Divinae aussi avec la merveilleuse "Darkness Forever" et le redoutable "Beast Of Fire". Sans oublier au moins "Beware The Demons" tiré du premier opus éponyme, même s'il était mené par un autre chanteur. Sans doute un ou deux autres titres (dont une reprise en final) mais ma mémoire me fait défaut. Ce dont je me souviens par contre, c'est que PORTRAIT en live, ça tue!


COUNTESS (indoor, 19h45)

Je n'étais pas très enclin à voir COUNTESS dont je n'avais pas, pour je ne sais quelles raisons, une bonne image. Je m'attendais en effet à du black metal kitschouille en carton. Et puis finalement, j'y suis quand même allé faire un tour. Et j'avoue qu'au début, voyant le look pagan/folk Robin des Bois des musiciens, j'ai pris peur. Mais en fait, ce set des Bataves fut une bonne surprise. Hé oui, j'ai bien aimé! Alors c'est sûr le chant du papy frontman n'est pas très convaincant, le clavier sonne un peu comme du Playschool et le tout manque de brutalité et de vitesse pour du metal soit-disant extrême. Mais alors putain les influences heavy metal, vachement chouette! C'est surtout ça en fait qui m'a plu, ces leads, ces solos, ces mélodies épiques inspirées, en particulier sur les morceaux du nouvel album Ancient Lies And Battle Cries. Franchement une belle découverte à ce niveau et j'ai pu ravaler mes préjugés sur COUNTESS (même si je n'avais pas tort sur tout)! Cela dit, je n'ai pas non plus pris un panard incroyable et je me retire avant la fin pour me préparer à l'événement qui m'a le plus convaincu de me déplacer jusqu'au Danemark.


DARK QUARTERER (outdoor, 20h45)

Je veux bien sûr parler du show de DARK QUARTERER, groupe italien culte qui a sorti deux premiers albums merveilleux à la fin des années 1980. Beaucoup de choses ont changé depuis, notamment le départ du fantastique guitariste Fulberto Serena en 1990 et l'ajout de claviers dans les années 2000 mais le combo, formé depuis 1978 (!), est toujours tenu par le duo originel Gianni Nepi (basse et chant) / Paolo Ninci (batterie). J'avais de très grandes attentes concernant la prestation des Transalpins, ce qui résulte souvent en déception, surtout quand la barre est placée si haut. Il n'en a rien été ici. Le son était encore une fois sans reproche, me permettant de savourer les somptueux morceaux de la bande. Pour mon plus grand plaisir, beaucoup de titres issus du premier album, réenregistré en 2012 pour ses 25 ans (très mauvaise idée, on ne touche pas au passé!). "Red Hot Gloves" en ouverture, "Colossus Of Argil", "Gates Of Hell" (magnifique!) et "Dark Quarterer" pour l'éponyme. "Retributioner" après un solo de batterie sera par contre le seul extrait du deuxième, The Etruscan Prophecy. Quelques titres des opus suivants également, que je ne connais pas mais qui ont l'air tout à fait recommandables aussi. En tout cas, je n'ai pas été décontenancé par l'apport des claviers (instrument que je supporte mal pourtant) sur les vieux classiques, seule chose que je redoutais. Non, j'ai pris un pied pas possible. Je n'étais plus au Danemark mais sur une autre planète, transporté et transcendé par ce heavy metal épique et progressif à l'incroyable feeling. Et quelle classe les musiciens! En premier lieu le chanteur et son joli chapeau noir, très courtois et tout sourire qui mine de rien possède l'un des timbres les plus uniques du genre (petit point négatif toutefois pour ses antisèches) ainsi que le "nouveau" guitariste Francesco Sozzi qui vivait à fond ses notes, à tel point qu'il semblait pleurer en jouant. Ça m'a presque foutu la larme à l'œil, surtout sur les passages les plus mélodiques et émotionnels (à peu près tous donc!). Et foutre Satan ces solos! Sans doute un des combos les plus doués à ce niveau. Vous comprendrez dès lors que DARK QUARTERER ait été acclamé chaudement par le public, plus nombreux que d'habitude dehors. En retour, le groupe, dans un geste très sympathique, a fait une distribution de badges aux couleurs de la réédition de Dark Quarterer que je me suis empressé de récupérer, même si je ne soutiens pas l'initiative du réenregistrement. Mais peu importe car j'ai passé un moment unique. Pendant une heure, le Metal Magic n'a jamais aussi bien porté son nom. Un pur moment de magie qui m'a collé des frissons tout du long. Merci!


HORISONT (indoor, 21h55)

Back in the 70s! Voilà ce que nous propose HORISONT, avec le look rétro vintage qui va bien. J'avais trouvé les extraits sur Internet, que j'avais écoutés par curiosité, n'ayant jamais entendu parler du combo avant cette affiche, plutôt prometteurs malgré ma réticence pour cette décennie encore un peu trop hippie pour moi. Quelques influences Thin Lizzy se détachaient en effet, et ça c'était plutôt cool. En live, j'ai un peu moins accroché à la musique des Suédois (qui d'autres?!), étonnamment signés sur le label de doomeux Rise Abose Records. La tête encore à DARK QUARTERER? Peut-être bien mais j'ai trouvé le son un peu trop metal pour ce groupe de hard rock et la voix un peu absente. Rien à redire par contre sur le groove dégagé par les riffs et la basse ainsi que les solos bluesy souvent bien fichus. Je ne suis toutefois pas assez convaincu pour rester jusqu'à la fin.


INQUISITION (outdoor, 22h55)

2ème groupe de black metal du vendredi après COUNTESS. Plus fan des artworks cosmico-horrifiques sur la tripotée de t-shirts du combo exposée dans la tente du merch que de leur musique, je suis le concert des Américains de loin et assis. Je le sais, INQUISITION a beaucoup de succès, il y a d'ailleurs foule devant la scène outdoor. Mais je ne partage pas trop l'engouement populaire. Certes, le BM me laisse indifférent la plupart du temps donc je ne suis pas vraiment qualifié pour en parler mais je n'ai rien trouvé d'incroyable dans la musique du groupe, enfin du duo puisque INQUISITION se résume à un chanteur guitariste et un batteur. Seul les vocaux à la Abbath d'Immortal m'ont soutiré un sourire d'acquiescement. Assister à un concert de black metal la nuit (presque) tombée avec la pleine lune en face de la scène avait aussi quelque chose de spécial. Pour le reste, je n'ai pas trouvé de quoi me satisfaire. Trop mollasson notamment. Je n'ai ainsi pas du tout été transporté par les nombreuses harmonies du combo soit-disant cosmiques ou je ne sais quoi. J'avais eu la même sensation (enfin le manque de sensation) en essayant sur album où j'avais trouvé INQUISITION bien trop clinique. L'ennui s'empare donc de moi rapidement...


INFERNÖ (indoor, 0h10)

Tout le contraire de INFERNÖ qui remporte la palme du grand n'importe quoi du Metal Magic 2014! Et deux surprises m'attendent. Je ne savais pas que l'un des guitaristes n'est autre que Carl-Michael Eide aka Aggressor d'Aura Noir, reconnaissable facilement puisqu'il évolue assis sur une chaise à roues suite à son "accident". L'autre motif d'étonnement est la présence de Daniel Kråkevik Salsten au chant, le maître à penser de Deathhammer que j'avais déjà croisé au Hellfest. C'est en fait lui qui sera l'attraction du concert. Le bonhomme est complètement torché, encore plus que d'habitude, et arrive à peine à tenir debout. Il s'écroulera d'ailleurs sur scène plusieurs fois. En quoi parlait-il entre les morceaux? Aucune idée mais il en débitait des mots! Sans doute la langue des ivrognes! Et vas-y aussi que je pars dans des cris suraigus à l'ancienne à tout bout de champ. Mort de rire, énorme! Le gus a même failli se friter avec un membre du public monté sur scène. Il fallait voir aussi sa dégaine long cheveux en bataille, yeux rouges défoncés et moustache 70s hyper moche. Mon nouveau héros! Et la musique dans tout ça?! Je n'avais jamais entendu le moindre morceau d'INFERNÖ mais son thrash old-school punky bête et méchant n'a pas besoin de familiarité. Ça bourre et ça suffit au bonheur de toute le monde à cette heure tardive. Le public n'a ainsi jamais été aussi vivant! On peut donc remercier le chanteur au taux d'alcoolémie impressionnant pour avoir foutu le feu! Et puis après tout ça colle très bien à la musique crasseuse et rien à carrer de la formation. Par contre, l'état et le comportement pas du tout professionnel du chanteur a passablement énervé ses partenaires, surtout le bassiste à sa gauche. Le set sera d'ailleurs écourté à 40 minutes après une énième dégringolade du frontman. Dernière bonne rigolade avec ce dernier qui commence à baragouiner dans son micro pour annoncer le prochain titre avant de se retourner et de s'apercevoir qu'il n'y avait plus personne sur scène! Instant classic! Un des meilleurs concerts du fest!


BLACK SABBATH TRIBUTE (Generalen, 2h00)

Ce pourquoi j'ai préféré terminer ma journée sur cette note chaotique et zapper l'after au Generalen. D'autant qu'il s'agissait d'un cover band de Black Sabbath. Non merci!


Deuxième journée éprouvante en raison de la chaleur et du nombre de groupes mais extrêmement plaisante grâce entre autres au côté "pépère" du fest et surtout à pas mal de bons shows: les bœufs de HELLSODOMY, les Français de HÜRLEMENT et leur mélodies catchies entêtantes, le gros heavy/power teuton viril de PARAGON, les bestiaux occultes de POSSESSION, les tarés alcooliques de INFERNÖ et l'apothéose pendant DARK QUARTERER. Demain, c'est déjà le dernier jour mais il en reste encore plein à se foutre dans les oreilles!

2 COMMENTAIRE(S)

FleshOvSatan citer
FleshOvSatan
04/08/2014 15:01
Yeah, Countess !
lkea citer
lkea
03/08/2014 22:45
Raaah, je suis jaloux pour DQ ! Je ne comprends pas le réenregistrement également. Pas écouté, mais l'album se suffit très bien à lui-même dans sa version originale !

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