Commentaires / choochoo

Pas mal ce titre de Passéisme, je ne connaissais pas

Très belle chronique.
Un fondamental personnel.
Acheté aussi en K7 à l'époque et je me souviens encore de la face B, que je trouvais meilleure que la première, épique à l'instar du début de Failed Territory.

Un enchainement dénué de temps mort, des samples évocateurs et la parfaite transcription d'un environnement urbain fantasmé dans mon walkman. Parfait pour les transports publics.

La suite m'a profondément déçu, plus punk certes mais sans l'urgence.

Excellente chronique, une fois de plus concernant la scène de Seattle et de ce qu'elle a pu mettre en lumière en termes de talents.
Découvert à sa sortie, j'en attendais une performance de Layne STALEY avant tout et j'y ai trouvé l'expression d'un groupe. Un album qu'il me plait à ressortir (surtout quand il pleut... et c'est souvent).
Mention spéciale effectivement à cette basse ronde et chaleureuse qui laisse place aux différent reliefs des compositions.

Porcupine tree montre un songwritting plus abouti et clivant sur celui-ci. une maitrise du propos plus intimiste aussi. un gros travail sur le duo bass/batterie qui fait écho à beaucoup de groupe provenant de la scène prog ayant négocié le virage plus "accessible ".
un grand album

Belle chronique personnelle.
J'aime beaucoup cet album, j'y reviens régulièrement, en particulier lorsque je ne sais pas trop ce que j'ai envie d'écouter.
"...tour à tour sensuelle, indolente, autoritaire..." c'est exactement ça!
Il m'emmène ce disque.

Il est culte, pêchu, et annonce le très fort SOTWA qui restera plus "cinématographique" à mes oreilles, mais c'est un détail et du ressenti qui n'enlèvent rien à la qualité des titres de UD.
Je le ressors que trop rarement.
Belle chro dense et directe comme ce disque.

Très belle chronique qui met en perspective le contexte graphique de l'époque.
Un album central, faisant honneur aux papas cités, biomécanique et contestataire..
Fabuleux

Belle chronique. L'emploi du "on" est évocateur dans mon ressenti.
Je lui reconnais un caractère "pivot" dans la carrière de Envy même si j'ai lâché après Insomniac Dose, celui-ci apparait plus maitrisé dans l'élan vers l'appropriation des reliefs.

Excellente chronique.
Je le préfère au premier. Quoique un peu trop long, c'est vrai, je le trouve plus enflammé. La touche hardcore est plus présente ( a peu de chose près). Je n'ai pas suivi par la suite ce qu'ils ont fait, c'est peut-être un tort. La pochette de Check Your People m'attire l’œil pourtant mais jamais écouté.

Belle chronique
Découvert en 94 sur la compilation Death..Is Just the Beginning III
la tonalité du titre dénotait avec le reste de la compil... coincé entre Illdisposed et Disrupt..
Un album que je ressors régulièrement.. surtout en hiver, pluvieux et venteux comme aujourd'hui... Il m'a tout de même fallu une certaine "éducation des sens' pour me l'approprier

Belle chronique pour ce bouquin qui donne envie.
Il me semble toutefois que la maison d'édition est Les Publications du Crépuscule

Parce que les éditions du crépuscule, c'est autre chose

Toujours un réel plaisir de lire ces chroniques.

Je le trouve aussi vraiment "très, très plan-plan"

Très chouette chronique. Un réel plaisir de voir ce groupe sur Thrashocore.
Exemplaire dans l'exécution et le propos, la réédition de 2007 est aussi pas mal.

Très bon bon album et excellente chronique.
Le duo Kirk/Sammy reste effectivement un sommet dans la carrière à mon sens.

Il lui manque juste l'audace d'un 'Dream Weaver' pour le finaliser.

Chronique complète pour un album qui l'est aussi. La maitrise est bluffante par moment. Je ne sais si je préfère celui-ci au suivant, ils se suivent mais ne se complètent pas je trouve. J'ose espérer une qualité équivalente pour le troisième.
un groupe éloquent et qui, je souhaite pour l'avenir, aura encore quelque chose à dire.

Quelle belle décennie tout de même.
Ce genre d'exercice (pas facile) m'éloigne encore plus de la "blasitude"

Très belle chronique (et géniale référence à Breakfast Club)

Fantastique album, même quand j'en ai pas envie il est bon... le bond en avant en terme d'interprétation... leur sommet même

"Father's lost in the mountains
But no mountain I can't see
But if that mountain should crumble come crumble on top of me"
A partir delà je fus conquis.

Très très belle chronique.

L'humain dans les méandres de ses créations.
Album essentiel et nécessaire

L'authenticité sociale acerbe

Un fondamental

Excellente chronique qui relate bien l'urgence, les antagonismes et lees fusions (en conséquence) du début des 90s.
Je lui préfère le suivant personnellement que je trouve plus abrasif.
La référence à Judgment Night , un des rares exemples de produits culturels où c'est la BO qui véhicule un message.

gulo gulo a écrit : Caïn Marchenoir a écrit : C'est mon préféré des texans parce que plus équilibré, au contraire des deux précédents où les premiers titres étaient mortels mais où la tension redescendait par la suite.

Pas trop d'accord avec ça : Far Beyond Driven a certes des tubes au début, mais Slaughtered, mais Use my Third Arm, mais Shedding Skin !

Oui! un gros travail de Dimebag sur les titres Hard Lines, Sunken Cheeks, 25 Years et surtout Shedding Skin: ambiance, conflit et hargne.

Personnellement c'est une tuerie, je n'attendais pas le groupe sur ce registre après le ton employé sur the eye of every storm (que j'adore aussi)...

Il est beau

Arf... je l'aime beaucoup celui-là, il reste impressionnant surtout les titres avec Seth Putnam en featuring... mais Far Beyond Driven reste mon gros coup de cœur car plus vicieux et je n'ai pas trop accroché au message anti-trend... c'est comme si le groupe n'avait plus grand chose à dire... ce que le suivant prononce définitivement...

Une grande surprise en 2019 pour ma part. Un album qui m'a accompagné les longues soirées d'automne/hiver.

Hypnotique et psychotique, le groupe parvient à se démarquer de ses compatriotes je trouve.

J'attends déjà la suite car on sent que le groupe a encore des choses à dire.

Belle chronique

Quel album!

Je comprends tout à fait qu'il puisse souffrir de la comparaison avec le "mighty" Dead Roots Stiring... L'attaque des riffs ne se révélant plus du tout dominant à l'instar de ce dernier; mais j'y perçoit un aspect plus rude toutefois, particulièrement sur les deux derniers titres, qui restent mes préférés.

Sur le moment, la prod m'a laissé dubitatif dans le sens où elle manque de relief mais la chronique le souligne très bien: 'Excessif mais sans prétention, il ne se veut jamais au-dessus de son intention d'écrire de bons morceaux, là où d'autres empilent les idées sauf une : celle d'emporter."

Un album magique, épique et terrestre

Terrordactyl...

Belle chronique qui fait honneur au propos.

et ce son de caisse claire!!

Je crois que l'approche que j'ai pu avoir avec cet album, pendant mes trajets en voiture, est restée trop intellectuelle.

On dirait un piège...

Sibyllin et exigeant certes mais ce n'est pas le Dark Soul du Black Metal...

Bon, je retourne sur Abigor

Un peu refroidi dans un premier temps surtout en rapport au culte que je voue au précédent...
Mais en y retournant régulièrement, je l'apprécie de plus en plus

Du début à la fin. Un des rares album qui tourne encore sur ma platine, les yeux dans les lyrics.

"Best Of Trash"... jamais à l'heure pour mon magnétoscope!

Belle chronique

Pour "Dust and Light"